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Ultra-sécurisé, inconnu du grand public, mais au coeur de la pandémie mondiale, le centre « Vektor » attise aujourd’hui les regards, et les convoitises. Le très sérieux quotidien français Figaro le décrit comme un « ancien centre de développement d’armes biologiques de l’époque soviétique, l’une des deux seules structures scientifiques au monde renfermant le virus de la variole (l’autre est à Atlanta, aux États-Unis). » Selon ses informations, le centre « Vektor » conserverait aussi les souches du redoutable virus Ebola, qui a ravagé l’Afrique il y a quelques années.
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C’est la raison pour laquelle de folles rumeurs circulent depuis plusieurs semaines en Russie. Mais le Kremlin et Vladimir Poutine s’empressent à chaque fois de faire taire les opposants via la censure et de dures sanctions, voire enfermement. Comme nous le relations il y a quelques jours, les services de renseignements britanniques n’excluent pas que le Covid-19 sorte directement du laboratoire de Wuhan en Chine. Théorie visiblement validée par un ministre britannique, qui témoigne de façon anonyme. Mais une autre option est possible : que le virus provienne du centre « Vektor ». Evidemment, si aucune preuve ne valide cette théorie, l’opacité de ce centre de recherche renforce de plus en plus ces accusations.
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Si certains peuvent parler de théories du complot, les faits poussent certains à ne pas exclure cette possibilité : selon le Figaro toujours, qui décrit le rôle initial du centre Vektor, » il s’agissait de se préparer, sur un mode défensif mais aussi vraisemblablement offensif, à une guerre bactériologique avec l’Ouest. »
Mais aujourd’hui, c’est une autre guerre qui se prépare : celle de la course au vaccin. Le centre Vektor serait probablement en mesure d’en fournir un d’ici quelques mois, et pourrait commencer des tests sur des humains volontaires à partir du mois prochain. Car le vaccin est un enjeu de plus en plus géopolitique : les Américains cherchent à recruter à prix d’or des chercheurs allemands pour être les premiers à sortir un vaccin, tandis que les russes misent sur leur centre ultra-secret et en avance sur l’étude bactériologique.
Une question se pose encore : alors que les Etats commencent à réaliser qu’une sortie de crise n’est désormais possible qu’à la faveur d’un vaccin, comment se dérouleront les tests ? En effet, les différentes procédures de tests sont longues et reportent la solution. C’est aussi l’objet d’une polémique récente sur les tests de vaccins sur les Africains.
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Entre rumeurs, réalités, désinformation, guerre géopolitique, nous sommes loin d’être sorti de cette crise qui risque de durer et de s’étendre.
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