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A partir d’aujourd’hui lundi 30 novembre jusqu’au 15 décembre, la France organise sous l’égide de l’ONU, la conférence internationale sur le climat au Bourget près de Paris. Cette grand-messe de l’écologie COP21 réunie plus de 150 hommes d’Etat et 40000 participants, parmi lesquels 54 pays Africains sont représentés.
L’objectif de cette rencontre est d’obtenir un accord universel qui englobe les 195 pays, à la différence du protocole de Kyoto de 1997, qui faisait porter la responsabilité et donc les contraintes de diminution de gaz à effet de serre aux seuls pays occidentaux. Un accord qui devra entrer en vigueur en 2020 en remplacement du protocole de Kyoto.
Les pays Africains sont présents pour défendre leurs intérêts : une réduction massive des gaz à effet de serre des pays industrialisés, d’une part, et d’autre part un soutien financier pour leur permettre d’orienter leur développement vers des modèles sobres en carbone et les aider à s’adapter aux conséquences du réchauffement, dont ils sont déjà les premières victimes. Car si l’Afrique n’émet que 4% des gaz à effet de serre de la planète, elle reste la principale victime du réchauffement climatique. Ainsi 6 des 10 pays les plus vulnérables se trouvent sur le continent Africain.
Plusieurs négociateurs, ministres ou militants Africains sont là pour défendre les intérêts du continent dont le Malien Seyni Nafo porte-parole du groupe Afrique, la Sud-Africaine Nozipho Mxakato-Diseko patronne du G77, La Marocaine Hakima El Haite future présidente de la COP22 ou encore le Kényan Mithika Mwenda militant pour la justice climatique.
Par Mamy Laure
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