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Initiatrice de la rencontre d’échanges dédiée aux jeunes cadres et entrepreneurs prévue le 21 juin au Medef, à Paris, la Camerounaise Chrys-Eve Nyetam, 28 ans, invite à construire un pont entre l’Afrique, la Diaspora et l’Europe : partenariat « gagnant-gagnant ».
La Camerounaise d’origine diplômée d’un bachelor en économie et d’un master en finances, qui a co-fondé en 2012, sous l’escorte de Murielle Yombo (éditrice en chef), le magazine Inspire Afrika, prépare le prochain Inspir’Talks. Prévue le 21 juin au Medef, à Paris, cette rencontre dédiée aux jeunes cadres et entrepreneurs, initiée par Chrys-Eve Nyetam, 28 ans, est un espace d’échanges qui relie la diaspora et le continent. Il invite les ressortissants de ce dernier à investir en Afrique.
Chaque année, la rencontre réunit sur le terrain cadres (45%), étudiants (15%), et entrepreneurs (15%) âgés entre 25 et 35 ans, selon Intothechic.com, qui rapporte les propos de l’organisatrice. Les ponts qui se créent aujourd’hui entre l’Afrique et l’Europe sont amenés à être « gagnants-gagnants », dit-elle.
Tendre vers la création de business entre Africains…
Le thème de cette année est axé autour de la fintech « financial technology». « L’idée est de comprendre comment cette industrie contribue à changer les circuits de paiement classiques en Afrique et d’analyser son impact sur les startups africaines. Et surtout de continuer à créer un élan diasporique dynamique fondé sur la jeunesse », détaille-t-elle, désireuse de s’adresser à ceux qui souhaitent participer à l’essor de l’Afrique.
Selon la Camerounaise, il est important de parler d’Internet, parce qu’il y a de plus en plus d’usagers du mobile et de flux financiers, pour trouver des modes de structuration. Il s’agit également d’avoir un aperçu des opportunités qu’offre la fintech pour les Africains.
« A la différence de l’Afrique anglophone qui crée déjà du business, le partenariat entre l’Europe et l’Afrique francophone est plus embryonnaire. Il a d’abord fallu construire un environnement, des partenariats. On devrait bientôt tendre vers la création de business, d’abord entre Africains, puis avec l’Europe à travers (…) des investissements forts (…)», suggère Chrys-Eve Nyetam.
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