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Une étude de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) révèle une augmentation du « célibat tardif » et de la « stérilité volontaire » chez les femmes de Lomé, Ouagadougou et Antananarivo.
Stigmatisation des femmes
Ces pratiques, considérées comme marginales, gagnent du terrain avec plus de femmes qui sont célibataires après 30 ans. Le nombre de femmes de plus de 40 ans sans enfant par choix en nette augmentation. 5% à 9% des femmes de plus de 30 ans sont célibataires dans les capitales étudiées. 7% à 8% des femmes de plus de 40 ans n’ont pas d’enfant par choix.
L’étude met en lumière les défis et la stigmatisation auxquels ces femmes font face. Il s’agit notamment d’un jugement systématique de la société, entraînant un sentiment de honte et de frustration. En plus d’une exclusion des discussions familiales. Ces femmes se sentent moins responsabilisées au sein de leurs familles respectives. Les femmes célibataires et sans enfant subissent une forte pression sociale.
Assurer une meilleure protection aux femmes
Cette étude vise à lutter contre la stigmatisation, à promouvoir le respect des choix individuels et appelle à la mise en place de politiques publiques adaptées. Cette étude de l’IRD ouvre la voie à une réflexion plus inclusive sur les modèles familiaux et les aspirations des femmes en Afrique.
Dans leurs conclusions, les chercheurs appellent à une meilleure compréhension et à une prise en compte de ces choix par les pouvoirs publics. Ceux qui ont mené les travaux espèrent que l’étude permettra de mieux comprendre ces phénomènes et d’inciter les pouvoirs publics à agir pour assurer une meilleure protection aux femmes.
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