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Céline-Josée Bakayoko, 32 ans, a offert à la Côte d’Ivoire sa première médaille aux Jeux africains 2023. L’argent glané en lutte libre féminine (-53 kg) couronne une reconversion réussie pour cette athlète, passée du badminton au combat sur tapis il y a quelques années.
Le parcours de Bakayoko est loin d’être banal. En 2017, après les Jeux de la Francophonie à Abidjan, elle découvre la lutte grâce à un coach qui l’a repérée lors de ses puissants smashes au badminton. Il lui suggère de tester la discipline, et la magie opère.
Des titres et des ambitions
Dès ses débuts, Céline-Josée Bakayoko enchaîne les titres nationaux en lutte libre et africaine (2017 et 2018). Aux Jeux africains de Rabat en 2019, elle confirme son talent malgré l’absence de podium. Après une pause due à une blessure et au Covid, elle revient en force, accumulant les podiums continentaux et participant aux Championnats du monde.
Bakayoko ne regrette aucunement sa reconversion : “Si j’avais su que la lutte existait ainsi en Côte d’Ivoire, je n’aurais jamais fait de badminton. Quand on ne peut se valoriser dans une discipline, mieux vaut aller où l’on peut briller. Je pense avoir fait le bon choix”.
Un talent adaptable
Sa réussite est d’autant plus étonnante que la lutte et le badminton semblent diamétralement opposés. Mais Bakayoko ne s’en étonne pas : “Avec le travail, on peut y arriver”.
Désormais, Céline-Josée Bakayoko vise une place aux Jeux olympiques de Paris 2024, via le tournoi de qualification olympique d’Alexandrie (22-24 mars). Et qui sait, peut-être nous réserve-t-elle d’autres surprises dans sa carrière ?
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