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Le travail de Sarah Waiswa, photographe d’origine ougandaise, présente un travail nécessite une réflexion approfondie. Elle y montre un vif intérêt à explorer l’identité sur le continent africain, en particulier la nouvelle identité africaine.
Cette nouvelle identité celle de l’époque actuelle, contrastant avec le passé du continent, où l’art était moins un moyen d’expression, mais plus une dévotion envers les dieux. Aujourd’hui, l’art africain est un moyen d’expression véhiculé par l’art, la mode, le cinéma et la photographie. C’est cette soif d’expression qui l’a poussée à quitter une carrière bien entamée dans entrepreneuriat pour se consacrer à la photographie. Une passion qui lui a valu le prestigieux Prix Découverte des Rencontres d’Arles 2016 pour sa série de photographies Stranger In A Familiar Land.
A propos de son travail, Sarah Waiswa déclare : “À travers ma photographie, je regarde toujours comment la société traite et interagit avec les gens en fonction de leurs défis et de leurs différences. En opérant à travers la lentille de mon appareil photo, j’ai constaté que plusieurs vérités existent et que les problèmes ne sont jamais noirs ou blancs. “
Sarah Waiswa perçoit le pouvoir qui se dégage des histoires propres aux Africains. Elle travaille actuellement sur un projet à long terme avec un autre photographe, Joel Lukhovi sur une série nommée African Cityzens. Cette série vise à encourager les mouvements trans-urbains, car ils documentent leurs voyages autour de l’Afrique, explorant tous les hauts et les bas qui accompagnent chaque ville.
Auzouhat Gnaoré
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