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Depuis la fin de l’année 2017, le Kenya connaît un embrasement contre le sexisme et la misogynie sur les réseaux sociaux suite à des dénonciations pour des faits de viols. Si cet acte criminel en lui-même est condamnable, le contexte ici décrit est encore plus odieux. En effet, c’est dans un hôpital, lieu sensé apporté réconfort et sécurité, que les faits se sont déroulés, à l’encontre de jeunes femmes venues accoucher.
Sur les réseaux sociaux, ce sont plusieurs témoignages de patientes qui ont mis la monstruosité en lumière. Au Kenyatta National Hospital de Nairobi, plusieurs femmes qui venaient d’accoucher se sont faites agressées et violées sous menace de mort. Cela se produirait lorsque celles-ci se déplacent à la nurserie pour visiter ou allaiter leurs bébés. Cet acte brutal occasionne forcément des complications aux conséquences lourdes étant donné qu’il débouche sur les craquages des points de suture effectués sur le vagin après un accouchement. En outre, des enfants hospitalisés auraient aussi été victimes de ces pratiques ignobles, et des visiteurs auraient été dépouillés de leurs biens les ascenseurs.
Naturellement, tous les soupçons se dirigent vers le personnel masculin de l’établissement. Des accusations rejetées en bloc par le directeur de l’établissement, car selon lui aucune signalisation des faits n’a été répertoriée dans la boîte à suggestion de l’hôpital.
En attendant, le ministère de la santé a ordonné une enquête sur ces allégations. Les kényanes elles, restent très actives sur les réseaux sociaux, à l’instar du mouvement #MeToo, dénonçant les agressions répétées que subissent les femmes en raison de leur genre.
Auzouhat Gnaoré
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