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Depuis le 1er octobre, le public peut découvrir pour la première fois, au festival international Photoreporter en Baie de Saint-Brieuc, des photographies des sex-otages de la secte Boko Haram. Réalisée par la photographe Ruth Mc Dowall, ses œuvres livrent un aperçu intime de ces survivantes.
Un reportage qui décrit les violations des droits de l’homme
Exposée parmi les 10 artistes du Festival, Ruth livre son expérience en reportage photo. Installée au Nigéria depuis 2008, elle y a séjourné durant 5 années. C’est dans le nord du Nigéria, que la néo-zélandaise, est allée à la rencontre des jeunes filles qui ont survécu aux enlèvements. La jeune photographe a réalisé des portraits afin d’attirer l’attention sur les abus et les violations des droits de l’Homme. “Je questionne les enjeux plus larges et plus profonds des enlèvements en suivant l’évolution de ces jeunes filles et la manière dont elles font face à leur traumatisme, leur réhabilitation ou absence de réhabilitation.” comme elle le souligne.
Depuis 2009, le groupe terroriste est responsable de la mort de 15 000 personnes. En 2014, l’enlèvement des 276 lycéennes à Chibok avait marqué les esprits et entraîné une mobilisation. Le Tchad, le Cameroun, le Niger et le Bénin, se sont accordés à mettre en place une force multinationale de 8.700 militaires pour éradiquer Boko Haram du nord-est du Nigeria et des confins du lac Tchad où le mouvement continue de semer la terreur avec des attentats suicide quasi quotidiens. Ses efforts n’étant pas suffisants, le 14 octobre dernier, les Etats-Unis ont déployés près de 300 militaires au Cameroun.
Plus d’informations
http://www.festival-photoreporter.fr/
@karine_oriot
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