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Face à la vague d’attentats meurtriers qui a sévit sur le territoire, cette rentrée scolaire s’annonce plutôt mouvementée. Les forces de l’ordre camerounaise sont sur le qui-vive pour assurer la sécurité intérieure et des patrouilles de police ont été placées aux abords des établissements. Dans la province de l’extrême nord, zone la plus touchée par la barbarie de l’Etat Islamique (ex Boko Haram), rare sont les enseignements sereins sur le chemin de l’école.
« le climat est très tendu »
Pour le responsable de la communication du Syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles normales (Snuipen), qui est également principal d’une école à Yaoundé, l’angoisse est difficile à gérer malgré l’omniprésence de la police.
« Si on dis qu’à l’extrème-nord, tout se passe bien, ça veut dire que nous ne sommes pas sérieux. cette zone est très touchée par des atrocités commises par la secte islamiste Boko Haram. Donc, l’école a commencé dans toute les autres régions de manière à peu près normale. Ici, le retour a été difficile parce que les populations sont dans une insécurité totale »
@M-R
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