Apres 12 ans de pouvoir et une transition en douceur avec son successeur George Weah, l’ex présidente du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf se lance à 79 ans dans la lutte pour l’autonomisation de la femme. C’est désormais le nouveau challenge de la lauréate du Prix Mo Ibrahim 2017 pour l’Excellence en Leadership Africain, prix instauré en 2006 par le milliardaire britannique d’origine soudanaise qu’elle a reçu pour avoir mis le Liberia sur les railles à force de détermination.
Si les deux présidences de Sirleaf ont été globalement brillantes, c’est certainement aussi parce qu’elle a mis un point d’honneur à soutenir les femmes libériennes comme elle l’explique dans son autobiographie, “This Child Will Be Great”.
Dans ce livre, elle reconnait l’impact des actions de femmes dans l’organisation de ses activités politiques. Un nouveau challenge donc pour celle qui a réussi à redresser le Libéria ruiné par des années de guerre civile en prenant en compte des idées portées par des femmes de la société civile, dans sa gestion de l’état. Son nouveau combat est aujourd’hui de trouver un ensemble de solutions aux problèmes inhérents à l’autonomisation de la femme. Une volonté exprimée lors de la remise du prix Mo Ibrahim l’année dernière; celle de travailler avec une petite équipe pour créer le Centre présidentiel Ellen Johnson Sirleaf pour les femmes et le développement. Un centre dont la mission sera de soutenir les femmes en tant qu’ agents du changement, créateurs de paix et moteurs de progrès. Nous lui souhaitons de réussir ce nouvel objectif avec brio, parce qu’avec le leadership des femmes, une autre Afrique, une Afrique plus apaisée est possible !
Dans ce livre, elle reconnait l’impact des actions de femmes dans l’organisation de ses activités politiques. Un nouveau challenge donc pour celle qui a réussi à redresser le Libéria ruiné par des années de guerre civile en prenant en compte des idées portées par des femmes de la société civile, dans sa gestion de l’état. Son nouveau combat est aujourd’hui de trouver un ensemble de solutions aux problèmes inhérents à l’autonomisation de la femme. Une volonté exprimée lors de la remise du prix Mo Ibrahim l’année dernière; celle de travailler avec une petite équipe pour créer le Centre présidentiel Ellen Johnson Sirleaf pour les femmes et le développement. Un centre dont la mission sera de soutenir les femmes en tant qu’ agents du changement, créateurs de paix et moteurs de progrès. Nous lui souhaitons de réussir ce nouvel objectif avec brio, parce qu’avec le leadership des femmes, une autre Afrique, une Afrique plus apaisée est possible !
Sylvie. O